Broché de 255 pages (14/21 cm)
“Quand mon ami Michel Jobert m´a parlé pour la première fois de Aïcha Mekki et de ses désolantes chroniques, je lui avais avoué que je n´avais jamais entendu parler d´elle, ni lu aucun de ses douloureux écrits.En évoquant le destin de cette journaliste, il affirmait avec justesse que les “”journalistes devraient être la mémoire de leur peuple, et le sont, le plus souvent””.L´idée de réunir dans une anthologie quelques unes de ses chroniques et d´évoquer même d´une manière romancée, son”” bref parcours, et sa fugitive traversée d´un siècle dont elle dénonçait les errements et les injustices, a ainsi fait son chemin et mobilisé beaucoup d´entre nous qui voulaient lui rendre justice et sauver de l´oubli son regard attendri sur tant de misères humaines, et indigné devant tant de vies brisées,