Broché de 108 pages–15, 8 x 24 cm ( couverture tachée )
Kacimi découvre la peinture en fréquentant l’atelier de Jacqueline Brodskis. il devient très vite une figure importante des arts plastiques au Maroc. Le peintre Mohammed Kacimi acquiert, en effet, une importance considérable à partir des années 70. il est salué en Europe et dans les pays arabes. C’est l’un des rares peintres marocains représentés par une galerie parisienne : Florence Touber.
« Le Monde diplomatique » faisait régulièrement paraître des reproductions de ses peintures à la première page. Féru de poésie, Kacimi a publié des recueils. il a aussi un sens aigu de l’engagement pour les droits de l’Homme, qu’il plaçait au centre de son œuvre. Polis, limés, poncés, fourbis, les hommes peints par Kacimi sont débarrassés de tout superflu. Pour sonder leur mystère, Kacimi les dépossède de toute boursouflure, les réduits à leur apparence élémentaire.
Mohammed Kacimi est décédé le 27 octobre 2003 à Rabat.