L’Esclave, le seul roman que Couchoro eût réussi à faire éditer à Paris, n’échappe pas à cette règle. Tout porte à croire que le tirage en fut très limité, et l’accueil plutôt froid de la critique colonialiste (puisque c’était d’elle que relevait la réception) devait avoir des conséquences fâcheuses sur sa fortune.