Broché de 150 pages.(18,5 x 12 cm ) Couverture. légèrement passée, , Intérieur acceptable
Dédicacé
Dans ce dix-septième tome des Journaliers Jouhandeau se sent voué aux Gémonies. Quotidiennement humilié par Élise, il se tourmente au sujet de Céline, maltraitée par son mari, au sujet de leurs enfants, en particulier du petit Marc. Il raconte aussi ses souvenirs sur Guéret, sur le valet de chambre de Proust, sur une hôtesse très respectable d’un genre très particulier. La correspondance qu’il échange avec Castor, le jeune Allemand de vingt-huit ans, lui donne une joie sans pareille et lui permet de surmonter les tentations de tristesse et de désespoir qui parfois l’assaillent.