Avant la guerre de 1939, Maurice Le Glay « est peut-être l’homme qui connaît le mieux le Maroc »(l). Aujourd’hui, malgré son talent, il est devenu « un écrivain oublié »(2). Pourtant, son œuvre, témoin privilégié de l’époque du Protectorat, peut favoriser chez les lecteurs francophones, une meilleure compréhension des hommes et des femmes du Maroc, de leur culture, de leur histoire, et devrait retenir l’attention des spécialistes de l’histoire littéraire.