« Les quarante-trois portraits rassemblés dans Adieu à quelques personnages, ouvrage d’autant plus pudique que l’auteur affiche son dégoût pour l’esthétique de l’aveu, montrent les relations mouvementées qu’impose la fréquentation des peintres et des écrivains. Joaquim Vital, né Lisboète en 1948, éditeur précoce avant que la police de Salazar l’oblige à l’exil à l’âge de dix-huit ans après l’avoir jeté en prison, un temps Bruxellois puis définitivement et nécessairement Parisien, prouve que l’admiration est intéressante à exercer. »
Claire Devarrieux, Libération